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Projets
Quand Pierrefitte imagine sa Seine
Réaménagement transitoire de la place Jean Jaurès et du square Jacques Demy - Pierrefitte-sur-Seine (93)
Les places Jacques Demy et Jean Jaurès sont des places extrèmement minérales en centre ville de Pierrefitte. Elles sont les résultantes d’un urbanisme moderne, sur dalle, peu attractif. Elles bordent n éanmoins de nombreux acteurs culturel de la ville.
Pour ce projet, nous nous sommes appuyées sur l’école toute proche : quoi de mieux pour ramener de la vie que de créer un espace autour du jeu ?
Nous nous sommes inspirées des abords de rivière pour développer un imaginaire ludique. Le mobilier, se compose de variations autour de trois éléments :
- Les pierres du rivage, en béton recyclé, qui composent nos assises de différentes hauteur pour pouvoir sauter de l’une à l’autre
- Le tracé de l’eau en bleu qui signale les différent.es acteur.ices de la place
- Les pergolas qui permettent de créer une canopée couverte l’été et de ramener de la végétation.
Les places Jacques Demy et Jean Jaurès sont des places extrèmement minérales en centre ville de Pierrefitte. Elles sont les résultantes d’un urbanisme moderne, sur dalle, peu attractif. Elles bordent n éanmoins de nombreux acteurs culturel de la ville.
Pour ce projet, nous nous sommes appuyées sur l’école toute proche : quoi de mieux pour ramener de la vie que de créer un espace autour du jeu ?
Nous nous sommes inspirées des abords de rivière pour développer un imaginaire ludique. Le mobilier, se compose de variations autour de trois éléments :
- Les pierres du rivage, en béton recyclé, qui composent nos assises de différentes hauteur pour pouvoir sauter de l’une à l’autre
- Le tracé de l’eau en bleu qui signale les différent.es acteur.ices de la place
- Les pergolas qui permettent de créer une canopée couverte l’été et de ramener de la végétation.




Le Pari du Vivant
Projet Lauréat du Concours Europan 16 pour le site Douaisis-Agglo
Le pari du Vivant, est une réponse aux problématiques du territoire de Douaisis Agglo : chômage, pauvreté, présence de délaissés pollués et de quartiers enclavés.
Pour améliorer le cadre de vie, nous avons proposé de valoriser l’entraide et des dispositifs innovants pour rendre les habitants moins dépendants (un agriculteurs/enseignant pour faire fructifier son jardin, une coopérative d’habitants qui réhabilitent leur habitats, etc.). Nous avons conçu ces interventions en synergie, pour permettre à l’ écosystème de s’autoréguler,
avec le moins d’entrants possible.
Notre nous appuyons sur une gouvernance citoyenne et sur la valorisation de dynamiques à l’échelle locale pour soutenir le projet.
«L’équipe soulève un sujet essentiel et central dans la thématique des villes vivantes, qui est le statut du monde vivant non humain dans les projets urbains, et la place qu’il doit occuper dans les prises de décision humaines. C’est une proposition très forte en termes de gouvernance. Le projet semble complet et fondé. Il s’appuie sur un diagnostic robuste et formule des propositions précises et simples, avec une économie de ressources : proposition éminemment contextuelle, choix des bons lieux de projet pour des interventions modestes, identification des secteurs à réindustrialiser, mise en évidence de la présence de l’eau... De plus, son modus operandi est celui que les acteurs locaux peuvent adopter.»
Extrait de l’analyse du jury
Le pari du Vivant, est une réponse aux problématiques du territoire de Douaisis Agglo : chômage, pauvreté, présence de délaissés pollués et de quartiers enclavés.
Pour améliorer le cadre de vie, nous avons proposé de valoriser l’entraide et des dispositifs innovants pour rendre les habitants moins dépendants (un agriculteurs/enseignant pour faire fructifier son jardin, une coopérative d’habitants qui réhabilitent leur habitats, etc.). Nous avons conçu ces interventions en synergie, pour permettre à l’ écosystème de s’autoréguler,
avec le moins d’entrants possible.
Notre nous appuyons sur une gouvernance citoyenne et sur la valorisation de dynamiques à l’échelle locale pour soutenir le projet.
«L’équipe soulève un sujet essentiel et central dans la thématique des villes vivantes, qui est le statut du monde vivant non humain dans les projets urbains, et la place qu’il doit occuper dans les prises de décision humaines. C’est une proposition très forte en termes de gouvernance. Le projet semble complet et fondé. Il s’appuie sur un diagnostic robuste et formule des propositions précises et simples, avec une économie de ressources : proposition éminemment contextuelle, choix des bons lieux de projet pour des interventions modestes, identification des secteurs à réindustrialiser, mise en évidence de la présence de l’eau... De plus, son modus operandi est celui que les acteurs locaux peuvent adopter.»
Extrait de l’analyse du jury
Chez Ginette
Résidence de programmation architecturale et esquisse
La résidence "Chez Ginette", organisée par le PNR de la forêt d'orient, porte sur l’aide à la programmation d’un tiers-lieu rural et la conception d’une esquisse en conséquence. Le village de Mesnils Saint Père s’est doté d’une grange qu’il souhaiterait mettre au service des habitants.
Dans cette résidence, nous avons mis en place une maîtrise d’usage et un accompagnement de la municipalité pour définir les attentes concernant cet espace. L’idée du tiers-lieu a été questionnée par notre équipe à plusieurs échelles, à travers des discussions informelles, des préfigurations spatiales, mais aussi l’organisation d’un COPIL.
Ce comité de pilotage a permis de sensibiliser la municipalité et de définir plus clairement les espaces et les usages potentiels du lieu selon les saisons et les bénéficiaires. Nous avons organisé des visites d’autres tiers-lieux, des ateliers de concertation, et une initiation au montage financier.
Ces phases d’étude nous ont permis de développer une esquisse en adéquation avec les besoins du village, tant en termes d’espaces que de performance énergétique.
La résidence "Chez Ginette", organisée par le PNR de la forêt d'orient, porte sur l’aide à la programmation d’un tiers-lieu rural et la conception d’une esquisse en conséquence. Le village de Mesnils Saint Père s’est doté d’une grange qu’il souhaiterait mettre au service des habitants.
Dans cette résidence, nous avons mis en place une maîtrise d’usage et un accompagnement de la municipalité pour définir les attentes concernant cet espace. L’idée du tiers-lieu a été questionnée par notre équipe à plusieurs échelles, à travers des discussions informelles, des préfigurations spatiales, mais aussi l’organisation d’un COPIL.
Ce comité de pilotage a permis de sensibiliser la municipalité et de définir plus clairement les espaces et les usages potentiels du lieu selon les saisons et les bénéficiaires. Nous avons organisé des visites d’autres tiers-lieux, des ateliers de concertation, et une initiation au montage financier.
Ces phases d’étude nous ont permis de développer une esquisse en adéquation avec les besoins du village, tant en termes d’espaces que de performance énergétique.




Carte du quartier des Quatre Chemins
Création d’une carte sensible
En collaboration avec la Maison de quartier des Quatre Chemins et la Maison du projet, une cartographie du quartier a été conçue avec, et pour les habitant.es, des primo-arrivant.es aux habitant.es historiques.
Lors des ateliers de concertations ludique, des bâtiments ont été pointés par les habitant.es comme les lieux remarquable du quartier, leurs façades sont ici représentées en peinture.
Les acteur.ices de l’ESS sont indiqués par des numéros. L’habillage/tamponnage de la carte a été réalisé lors d’ateliers participatifs.
Si la carte est un objet ludique de reconnaissance du quartier, avec ses bâtiments iconique, c’est également et un outil pour les travailleur.euses de la maisons de quartier, permettant d’indiquer aux habitant.es les autres acteur.ices de l’économie sociale et solidaire.
En collaboration avec la Maison de quartier des Quatre Chemins et la Maison du projet, une cartographie du quartier a été conçue avec, et pour les habitant.es, des primo-arrivant.es aux habitant.es historiques.
Lors des ateliers de concertations ludique, des bâtiments ont été pointés par les habitant.es comme les lieux remarquable du quartier, leurs façades sont ici représentées en peinture.
Les acteur.ices de l’ESS sont indiqués par des numéros. L’habillage/tamponnage de la carte a été réalisé lors d’ateliers participatifs.
Si la carte est un objet ludique de reconnaissance du quartier, avec ses bâtiments iconique, c’est également et un outil pour les travailleur.euses de la maisons de quartier, permettant d’indiquer aux habitant.es les autres acteur.ices de l’économie sociale et solidaire.
Pam est là!
Concertation, conception , construction et illustration d’un kiosque d’information de quartier à Pantin
Pam est là! est un projet de réhabilitation de kiosque à journaux en stand d’information de quartier et de lieu de vente à l’usage des associations des 4 Chemins à Pantin.
L’EBE Pam est l’association à but d’emploi du dispositif Territoire Zéro Chômeurs de Longue Durée de Pantin. Afin de médiatiser leurs actions, trouver des partenaires, vendre leurs produits et avoir une utilité d’information sur le quartier, un kiosque à journaux vacant leur a été prêté.
Après une concertation avec les employés, nous avons conçu un aménagement se voulant chaleureux et convivial. Celui-ci fut réalisé conjointement avec un menuisier de réemploi, Pierre Chausson, et les employés de Pam.
Le chantier fut l’occasion de former «les collègues» aux métiers du bois. La décoration de l’espace fut aussi réalisée en chantier d’insertion.
L’aménagement du kiosque est conçu pour permettre aux passants de s’asseoir et de discuter. Pour cela, nous avons crée des alcôves avec des bancs qui cachent des rangements. Ils sont positionnés devant des panneaux perforés qui viendront accueillir des étagères modulables.
Pam est là! est un projet de réhabilitation de kiosque à journaux en stand d’information de quartier et de lieu de vente à l’usage des associations des 4 Chemins à Pantin.
L’EBE Pam est l’association à but d’emploi du dispositif Territoire Zéro Chômeurs de Longue Durée de Pantin. Afin de médiatiser leurs actions, trouver des partenaires, vendre leurs produits et avoir une utilité d’information sur le quartier, un kiosque à journaux vacant leur a été prêté.
Après une concertation avec les employés, nous avons conçu un aménagement se voulant chaleureux et convivial. Celui-ci fut réalisé conjointement avec un menuisier de réemploi, Pierre Chausson, et les employés de Pam.
Le chantier fut l’occasion de former «les collègues» aux métiers du bois. La décoration de l’espace fut aussi réalisée en chantier d’insertion.
L’aménagement du kiosque est conçu pour permettre aux passants de s’asseoir et de discuter. Pour cela, nous avons crée des alcôves avec des bancs qui cachent des rangements. Ils sont positionnés devant des panneaux perforés qui viendront accueillir des étagères modulables.




Stand d’information itinérant
Concertation, conception, construction d’un stand d’information pour la ville de Pierrefitte-sur-Seine
Le stand d’information de la ville de Pierrefitte fut conçu après une concertation. Nous sommes, avec le collectif Umarell, allé à la rencontre des Pierrefittois.
Nous avons utilisé le truchement d’un dispositif construit et imposant pour éveiller la curiosité des habitants de Pierrefitte, et ainsi recueillir leur préférence par rapport a l’objet. Dans un second temps, nous l’avons construit et décoré avec Brieg Huon, artiste plasticien.
Nous l’avons voulu esthétique et ludique. Lors de son déplacement grâce à un vélo électrique, la charrette peut se replier entièrement. A l’arrêt un toit ouvrable soutenu par des vérins en bois peut être ouvert. Celui-ci est en tôle ondulée plastique, jouant avec des effets de transparence en lien avec l’espace qu’il occupe. C’est un toit léger, qui permet, lorsqu’il est ouvert, de se protéger de la pluie et du soleil tout en laissant passer de la lumière.
Une table pliante est intégrée à la structure de l’objet mobile, permettant ainsi a celui-ci de se déployer dans l’espace. Le socle de la charrette s’ouvre en deux zones pour la rendre la plus fonctionnelle possible.
Nous avons eu à cœur d’utiliser les matériaux les plus vertueux possible (bois, plastique recyclé).
Le stand d’information de la ville de Pierrefitte fut conçu après une concertation. Nous sommes, avec le collectif Umarell, allé à la rencontre des Pierrefittois.
Nous avons utilisé le truchement d’un dispositif construit et imposant pour éveiller la curiosité des habitants de Pierrefitte, et ainsi recueillir leur préférence par rapport a l’objet. Dans un second temps, nous l’avons construit et décoré avec Brieg Huon, artiste plasticien.
Nous l’avons voulu esthétique et ludique. Lors de son déplacement grâce à un vélo électrique, la charrette peut se replier entièrement. A l’arrêt un toit ouvrable soutenu par des vérins en bois peut être ouvert. Celui-ci est en tôle ondulée plastique, jouant avec des effets de transparence en lien avec l’espace qu’il occupe. C’est un toit léger, qui permet, lorsqu’il est ouvert, de se protéger de la pluie et du soleil tout en laissant passer de la lumière.
Une table pliante est intégrée à la structure de l’objet mobile, permettant ainsi a celui-ci de se déployer dans l’espace. Le socle de la charrette s’ouvre en deux zones pour la rendre la plus fonctionnelle possible.
Nous avons eu à cœur d’utiliser les matériaux les plus vertueux possible (bois, plastique recyclé).
Dérives
Projet artistique, fluvial et itinérant
Dérives est une proposition artistique « participative », co-construite et itinérante, utilisant le Lot comme voie de navigation et un radeau comme embarcation pour relier les communes de la vallée du Lot, de Saint-Cirq Lapopie à Cahors.
Dérives est un projet qui vient questionner les notions d’appropriation des espaces publics et du territoire dans tous ses aspects. En tant qu’architectes, nous concevons nos interventions comme créatrices de contextes permettant aux habitant.es de prendre part de façon active aux usages de leurs espaces. En tant qu’artistes, nous croyons à la force émancipatrice de la pratique : c’est par le faire, l’empirisme, le tâtonnement que nous nous encapacitons, que nous développons un rapport à notre environnement. Nous souhaitons promouvoir l’idée de création collective.
Le radeau que nous avons construis questionne son environnement et la course à la vitesse et à la performance que nous subissons de nos jours. Notre projet s’inscrit dans une démarche low tech: elle doit être utile, accessible et durable. A travers ce projet, nous avons défendu une architecture différente, respectueuse du milieu dans lequel elle s’implante, écologique et collective.
Nous avons proposé aux publics divers une forme d’atelier ouvert, prenant pour base la question de la retranscription graphique du territoire via le travail de l’héraldique. Nous avons choisi de la traiter l’héraldique comme un langage permettant une force évocatrice narrative et esthétique: il s’agissait de mettre en récit son territoire, son paysage, sa vie d’une façon symbolique et graphique.
Notre travail consistait à créer collectivement des blasons, des drapeaux, formant ainsi une cartographie sensible et subjective de cette portion de la vallée du Lot. A chaque halte, un drapeau supplémentaire est venu se hisser sur le radeau, jusqu’à l’arrivée à Cahors.
Dérives est une proposition artistique « participative », co-construite et itinérante, utilisant le Lot comme voie de navigation et un radeau comme embarcation pour relier les communes de la vallée du Lot, de Saint-Cirq Lapopie à Cahors.
Dérives est un projet qui vient questionner les notions d’appropriation des espaces publics et du territoire dans tous ses aspects. En tant qu’architectes, nous concevons nos interventions comme créatrices de contextes permettant aux habitant.es de prendre part de façon active aux usages de leurs espaces. En tant qu’artistes, nous croyons à la force émancipatrice de la pratique : c’est par le faire, l’empirisme, le tâtonnement que nous nous encapacitons, que nous développons un rapport à notre environnement. Nous souhaitons promouvoir l’idée de création collective.
Le radeau que nous avons construis questionne son environnement et la course à la vitesse et à la performance que nous subissons de nos jours. Notre projet s’inscrit dans une démarche low tech: elle doit être utile, accessible et durable. A travers ce projet, nous avons défendu une architecture différente, respectueuse du milieu dans lequel elle s’implante, écologique et collective.
Nous avons proposé aux publics divers une forme d’atelier ouvert, prenant pour base la question de la retranscription graphique du territoire via le travail de l’héraldique. Nous avons choisi de la traiter l’héraldique comme un langage permettant une force évocatrice narrative et esthétique: il s’agissait de mettre en récit son territoire, son paysage, sa vie d’une façon symbolique et graphique.
Notre travail consistait à créer collectivement des blasons, des drapeaux, formant ainsi une cartographie sensible et subjective de cette portion de la vallée du Lot. A chaque halte, un drapeau supplémentaire est venu se hisser sur le radeau, jusqu’à l’arrivée à Cahors.




L'Abri
Projet Artistique autour du low-tech et de l’appropriation de l’espace public
L’ Abri est un projet d’apprentissage collectif autour des méthodes de construction et de production artistique low-tech.
Au coeur du jardin du Centre Tignous d’Art Contemporain, à Montreuil, une structure éphémère est construite lors de chantiers participatifs autour des matériaux écologiques et bio-sourcés (bois, torchis, toile cirée et peinture suédoise). L’Abri accueillait ensuite des ateliers autour de l’édition (tampon, papier marbré, cyanotype, reliure et peinture textile).
L'Abri sert de porte d’entrée pour valoriser une pensée écologique
en sensibilisant à lanotion de paysage, aux matériaux bio-sourcés,
et faire prendre conscience de l’impact dubâti sur les milieux habités. Elle permet de créer des temps forts autour du plaisir, du partage,de l’écologie et du faire ensemble. La cabane éphémère devient un outil sollicitant l’imaginaire de chacun et chacune pour réfléchirla ville de manière inclusive, bienveillante et soucieuse de
l’avenir commun.
Ce projet a pu être réalisé grâce au dispositif de l’Eté culturel de la DRAC Île-de France.
L’ Abri est un projet d’apprentissage collectif autour des méthodes de construction et de production artistique low-tech.
Au coeur du jardin du Centre Tignous d’Art Contemporain, à Montreuil, une structure éphémère est construite lors de chantiers participatifs autour des matériaux écologiques et bio-sourcés (bois, torchis, toile cirée et peinture suédoise). L’Abri accueillait ensuite des ateliers autour de l’édition (tampon, papier marbré, cyanotype, reliure et peinture textile).
L'Abri sert de porte d’entrée pour valoriser une pensée écologique
en sensibilisant à lanotion de paysage, aux matériaux bio-sourcés,
et faire prendre conscience de l’impact dubâti sur les milieux habités. Elle permet de créer des temps forts autour du plaisir, du partage,de l’écologie et du faire ensemble. La cabane éphémère devient un outil sollicitant l’imaginaire de chacun et chacune pour réfléchirla ville de manière inclusive, bienveillante et soucieuse de
l’avenir commun.
Ce projet a pu être réalisé grâce au dispositif de l’Eté culturel de la DRAC Île-de France.
Pratica 2025 (projet en cours)
Festival autour des pédagogies émancipatrices, évènements artistiques.
Pratica est un ensemble de quatre temps de rencontre et création à Pantin autour de quatre lieux : l’Ecole de plein air (Ecole Mehul), le CAUE, la Micro Folie et les Sheds, le tout clôturé par un festival.
Le but étant, par l’invitation d’artistes et designers, de s’intéresser aux pédagogies émancipatrices et autonomisantes, et au design d’espace social en parallèle d’une réflexion au long cours sur de l’évolution du statut des artistes.
Ce projet a reçu le soutien de la DRAC Île-de-France dans le cadre du SODAVI, et sera probablement l’origine de nouveaux questionnements et de nouvelles pistes de réflexion.
Pratica est un ensemble de quatre temps de rencontre et création à Pantin autour de quatre lieux : l’Ecole de plein air (Ecole Mehul), le CAUE, la Micro Folie et les Sheds, le tout clôturé par un festival.
Le but étant, par l’invitation d’artistes et designers, de s’intéresser aux pédagogies émancipatrices et autonomisantes, et au design d’espace social en parallèle d’une réflexion au long cours sur de l’évolution du statut des artistes.
Ce projet a reçu le soutien de la DRAC Île-de-France dans le cadre du SODAVI, et sera probablement l’origine de nouveaux questionnements et de nouvelles pistes de réflexion.




Totem Territoires Zéro Chômeur (en cours)
Étude et conception d'une signalétique pour le dispositif TZCL à Pantin 4 Chemins.
Comment faire porter à connaissance le dispositif “Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée” auprès des potentiel·le·s bénéficiaires du territoire (chômeur·euse·s de longue durée, dirigeant·e·s d’entreprise...) et des habitant·e·s ?
Nous avons réalisé pour Est Ensemble un diagnostic sensible et une analyse du contexte du territoire.
Nous avons ainsi déterminé le public cible, ses lieux de passage dans le quartier, les zones où visuellement la signalétique serait la plus efficace, et le potentiel des lieux.
Après cette étude, nous réaliserons, en chantier d’insertion avec les bénéficiaires actuels de ce dispositif, les panneaux d’information sur le territoire.
Comment faire porter à connaissance le dispositif “Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée” auprès des potentiel·le·s bénéficiaires du territoire (chômeur·euse·s de longue durée, dirigeant·e·s d’entreprise...) et des habitant·e·s ?
Nous avons réalisé pour Est Ensemble un diagnostic sensible et une analyse du contexte du territoire.
Nous avons ainsi déterminé le public cible, ses lieux de passage dans le quartier, les zones où visuellement la signalétique serait la plus efficace, et le potentiel des lieux.
Après cette étude, nous réaliserons, en chantier d’insertion avec les bénéficiaires actuels de ce dispositif, les panneaux d’information sur le territoire.
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